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Dans cette étude, la KU Leuven et le Bureau fédéral du Plan examinent le coût de la subvention (para)fiscale des pensions du deuxième pilier pour les salariés sur la base de l'approche de la valeur actuarielle. La dépense fiscale pour les versements en 2019 est de 1,96 (sans changements de comportement) ou de 1,67 milliard € (avec changements de comportement). Les résultats diffèrent peu de ceux d'une étude précédente fondée sur l'approche des flux de trésorerie.


Cette étude se concentre sur les besoins à court et à plus long terme de financement du FPS qui gère et paie les pensions des agents nommés à titre définitif dans les administrations provinciales et locales. Le FPS est basé sur un système de répartition, ce qui signifie que les cotisations patronales et personnelles prélevées sur les traitements des agents en activité nommés à titre définitif sont utilisées pour financer les pensions des agents pensionnés . Par conséquent, le FPS est sensible aux changements démographiques et à l’effectif du personnel.
Afin de cartographier les conséquences financières à long terme de ces changements, cette étude a été réalisée à l’aide d’un outil de micro-simulation avancé appelé ExSysPen 2.0. 
Grâce à ExSysPen, cette étude permet d’analyser avec précision l’impact de différents facteurs influençant les dépenses en matière de pension. 

 


Ce document donne un aperçu visuel, clair et concis sur l’écart de pension entre les hommes et les femmes pour les nouveaux retraités en 2022. Il est un résumé des chiffres clés de la section « Genre & Pension ». 

 


À partir du 1er janvier 2030, il ne pourra plus y avoir de différence de traitement en matière de pension complémentaire entre les ouvriers et employés qui se trouvent dans une situation similaire. La loi du 15 mai 2014 apporte des modifications en ce sens à la loi sur les Pensions complémentaires (LPC).

À la demande du Conseil National du Travail, Sigedis a examiné l'ampleur du fossé qui subsiste et l'importance de l'effort à fournir. Cette étude présente un état des lieux de certains plans de pension sectoriels.


Ce rapport montre que les minima de pension (les pensions minimums et le droit minimum par année de carrière) ainsi que les périodes assimilées réduisent les inégalités de pension entre les hommes et les femmes. En l’absence de minima, l’écart de pension serait de 37%, au lieu de 31%. Dans l’hypothèse où les périodes assimilées ne le seraient plus, l’écart passerait de 31% à 43%.